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Lu en janvier 2012
Histoire de Miles Heller, de ses parents séparés, son père remarié avec une femme déjà maman d’un fils à peu près du même âge Bobby. C’est l’histoire de ce drame, la mort de Bobby alors que Miles se bagarrait avec lui dans la rue, sa culpabilité le pousse à fuir loin de sa famille sans donner de nouvelles pendant 7 ans. Il tombe amoureux de Pilar , elle est jeune, il doit s’éloigner d’elle jusqu’à sa majorité, revient à New York, est hébergé chez son ami Bing qui squatte une maison de Sunset Park avec 2 colocataires féminines Alice et Ellen. Dans cette maison, leurs destins vont se lier.
***** « Faut-il un acte de courage pour se lever et retourner ses tripes devant un public d’inconnus, ou bien est-ce une compulsion, un besoin d’être regardée, un manque d’inhibition frisant la témérité qui poussent quelqu'un à faire ce qu’elle fait ? il n’a jamais été capable de mettre le doigt sur la ligne de partage entre la vie et l’art. Renzo est comme Mary-Lee, tous deux sont prisonniers de ce qu’ils font, tous deux se lancent depuis des années d’un projet au suivant, tous deux ont produit des œuvres d’art qui dureront, et pourtant leur vie a été un vrai foutoir, tous deux ont divorcé deux fois, tous deux ont un talent extraordinaire pour se prendre en pitié, tous deux sont au fond inaccessibles à autrui – pas exactement des êtres humains ratés, mais pas non plus des réussites. Des âmes amochées. Des blessés qui marchent, qui s’ouvrent les veine et saignent en public » ****
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Les branches se mêlent
Tu marches et tu te perds au son des couleurs
Tu retiens l’instant mais il s’enfuit quand même
Il court en riant et s’évanouit de lui même
Incertain le lendemain oscille et demeure intouchable
Les branches s’embrassent et s’emmêlent
Elles murmurent entre elles
Les âmes passent unies solitaires
Enjouées désœuvrées
Le temps est insatiable
Remarque-t-il ces beautés sauvages ?
Ce tissage végétal aux formes animales ?
Respire car la vie est ici indomptable sincère et loyale
Elle te sonde
Elle court le long de ton corps
Et son énergie te rend fort
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Quand la machine se glisse entre les hommes,
les interrogations bouclent et se cognent
au manque de chaleur humaine.
Les réponses s'égarent et se trompent
Elles ne sont plus le reflet de rien
Comme un sourire dont le souvenir s'estompe
une pâle copie qui s’éteint
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Je ne suis plus très sure de moi
Je m’approche de la décadence
L’univers s’enfonce dans la danse
Je ne suis plus très sure
Je ne suis plus très sure de toi
Les étoiles s’enfilent en silence
Sans trouver d’autres références
Je ne suis plus très sure
Connais-tu le reflet des ombres
Il se dessine dans mes visions
Ne cherche que des sensations
Il suffit de les suivre
Les souterrains sont envahis
Ils se servent de tes paradoxes
Appréhendent ce qui les séduit
S’étonnent de ton esprit
Fuyons cet instant si tragique
Qui ne saurait se consoler
De cette absurde réalité
Je ne suis plus très sure
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Lu au Lycée puis relu en 2005
Ce que j’ai pris pour le plus beau roman d’amour dans ma jeunesse montre en fait l’effet destructeur que peut avoir une passion si on s’y laisse aller. Je pense que le roman veut montrer qu’il faut être ferme pour arriver à transformer une passion en amour véritable et garder son chemin à soi
Histoire des nations unies, de cet environnement mondain où chacun cherche à gagner du galon. Histoire des Deume, d’Adrien et de son ambition. Histoire d’amour entre Arianne et Solal, une passion qui les consume, les isole, les brule
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