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Partir au loin - 2003
Pourquoi rien ne s'efface, ni la douleur, ni la rancoeur,
Pourquoi toujours ressasser, les faits passés qui t'angoissent
Laisse le temps couler, doucement pâlir tous tes souvenirs
pensées qui te rendent fou et se disputent tes rêves
Le regard presque éteint, reste pourtant, une lueur,
un petit souffle de vent, suffirait à l'animer
Un petit air d'espoir, pour que s'enflamme, ta p'tite lueur
Tu regardes partir au loin, les fantômes de tes nuits
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